Avenant n° 172 indemnité temps partiel du 5 décembre 2018
La CGT n’a pas signé cet avenant qui exclut certains salariés de l’indemnité temps partiel.
La CGT n’a pas signé cet avenant qui exclut certains salariés de l’indemnité temps partiel.
Nous avons signé cet avenant qui vient améliorer les conditions de versement des indemnités de licenciement.
Nous n’avons pas signé cet avenant qui rend encore plus complexe et sujet à interprétation subjective les critères de classification de la grille de rémunération.
Bulletin Spécial Journées nationales d’études 2018
Télécharger : cgt_mag_136-novembre2018
Informations sur la dénonciation par la FFMJC de la Convention Collective de 1972 et la négociation d’un nouvel accord d’entreprise
La FFMJC reporte une nouvelle fois la négociation sur les salaires !
– Afficher et télécharger : infos dénonciation cc72 novembre 2018
Informations sur la dénonciation par la FFMJC de la Convention Collective de 1972 et la négociation d’un nouvel accord d’entreprise
La CGT demande une négociation loyale !
– Télécharger : infos dénonciation cc72 octobre 2018
Informations sur la dénonciation par la FFMJC de la Convention Collective de 1972 et la négociation d’un nouvel accord d’entreprise
La FFMJC dévoile son plan de rigueur !
– Télécharger : infos dénonciation cc72 septembre 2018
L’enjeu de cet avenant est de taille : il propose d’élargir le champ d’application de la Convention Collective aux entreprises à but lucratif.
La CAN de notre UG, réunie spécialement à ce sujet, s’est prononcée unanimement contre cette ouverture. L’objet à but non lucratif est au coeur de nos associations et il est hors de question de le remettre en question.
Malheureusement, l’USPAOC, union de syndicats de la Fédération du Spectacle CGT, a signé cet avenant.
Deux ans plus tard, il n’a toujours pas été étendu par le ministère du Travail.
Grâce à la FERC-CGT, augmentation de la valeur du point à 6,24 € !
La Commission Mixte paritaire de la Convention Collective de l’Animation s’est déroulée le 10 avril 2018 sous l’égide du Ministère du Travail. La CGT avait demandé que soit inscrit à l’ordre du jour la question de la valeur du point. Dès le début des échanges, la CGT prenait la parole pour réclamer que la valeur du point soit portée à 6,30 €. Il s’en suivait des négociations entre le CNEA et les organisations syndicales. Le CNEA faisait une proposition à 6,21 €. Afin d’obtenir un front uni des syndicats, la CGT proposait 6,25 €. Face à l’opposition de tous les syndicats, le CNEA revoyait à la hausse sa proposition et un accord final à 6,24 € était trouvé. Cette hausse prendra effet au 1er janvier 2019.